Archives de l’auteur : unipoplibre
El lado oscuro del corazón (Eliseo Subiela)
Un jeune poète gagne sa vie en vendant quelques idées à une agence de publicité. Quand il n’a plus un rond, il échange contre un repas des poèmes d’amour à un restaurateur. Un jour, il fait la connaissance d’Ana, une prostituée dont il s’éprend mais qui ne consent qu’à des rapports professionnels. Il accepte alors un contrat de publicité pour se payer durant trois jours entiers l’amour d’Ana.
Oikía. Regards croisés sur l’écologie et l’économie | L’Économiste qui murmurait à l’oreille des animaux (IRIS)
« Déstabiliser les pouvoirs » : l’humour de gauche au Québec (Pivot)
Comment le gouvernement Carney veut sécuriser la frontière en s’attaquant aux migrant·es (Pivot)
Environnement : de la critique du statu quo à la transition juste (IRIS)
Bleuets et abricots (Natasha Kanapé)
Ababouiné (André Forcier)
Montréal, 1957. L’influence du clergé sur la province est considérable. Cela n’empêche pas des gens de souhaiter un Québec laïque. Michel, 12 ans, a la polio et il habite le Faubourg à m’lasse. Rêvant de poésie et d’écriture, il passe ses journées à l’école et à aider un vieil éditeur à typographier des livres. Le recueil Ababouiné est presque terminé et il risque d’éveiller les consciences. Le manuscrit est cependant confisqué par des membres de l’Église. Michel et ses amis sont prêts à tout pour le récupérer, défiant une des plus puissantes institutions.
Résistance, résonance : apprendre à changer le monde avec Hartmut Rosa (Renaud Hetier, Fred Poché, Jean-Yves Robin)
Comment éviter l’écueil où le néolibéralisme nous a conduits ? Pour parer aux logiques d’accélération et de croissance, qu’il identifie comme étant à l’origine de l’aliénation contemporaine, le sociologue Harmut Rosa a dessiné une voie, magistrale : un rapport au monde renouvelé. À rebours de l’instrumentalisation que nous impose la société moderne, il nous invite à une relation vivante, responsive. En un mot, à la « résonance », seule en mesure de nous sortir de l’ornière sans violence. Mais ce concept est-il assez puissant pour penser une nécessaire transformation ? La résonance est subversive, mais un renouvellement en profondeur peut-il faire l’économie de la rupture ? Les convivialistes dont les contributions sont ici réunies s’interrogent : comment éduquer les générations futures à un nouveau rapport au monde ? Comment se former pour transformer ? Faut-il entrer en résonance ou en résistance ?