Le château des destins croisés (Italo Calvino)

«L’un des convives amena vers lui les cartes éparses, débarrassant ainsi une bonne partie de la table ; mais il ne les rassembla pas en un seul paquet ni ne les battit ; il prit une carte, et la posa devant lui. Nous notâmes tous la ressemblance de son visage avec celui de la figure peinte : il nous parut qu’avec cette carte il voulait dire « je » et qu’il s’apprêtait à nous raconter son histoire.».

Syndicalisme | Les syndicats nuisent-ils à la productivité ? (IRIS)

Durant la dernière année, le gouvernement de François Legault a multiplié les mesures contraignantes à l’encontre du syndicalisme au Québec. La proximité de la Coalition Avenir Québec (CAQ) avec le monde des affaires peut expliquer son biais défavorable aux organisations qui défendent l’intérêt des travailleurs et des travailleuses. Il n’en demeure pas moins que plusieurs des politiques antisyndicales – et antidémocratiques – mises de l’avant par le gouvernement sont fondées sur une analyse erronée du rôle des syndicats dans la société québécoise et des conséquences de leur présence. Dans cette série d’articles, l’IRIS déboulonne les mythes sur le syndicalisme et met en relief la grande diversité des enjeux liés à l’action de ces regroupements de salarié·e·s.Durant la dernière année, le gouvernement de François Legault a multiplié les mesures contraignantes à l’encontre du syndicalisme au Québec. La proximité de la Coalition Avenir Québec (CAQ) avec le monde des affaires peut expliquer son biais défavorable aux organisations qui défendent l’intérêt des travailleurs et des travailleuses. Il n’en demeure pas moins que plusieurs des politiques antisyndicales – et antidémocratiques – mises de l’avant par le gouvernement sont fondées sur une analyse erronée du rôle des syndicats dans la société québécoise et des conséquences de leur présence. Dans cette série d’articles, l’IRIS déboulonne les mythes sur le syndicalisme et met en relief la grande diversité des enjeux liés à l’action de ces regroupements de salarié·e·s.

Le Clash – Jessy Fuchs (Rouge Pompier / Slam Disques / Hell for Breakfast / exterio)

Lors de cet épisode, je reçois Jessy Fuchs de Rouge Pompier / Slam Disques / Hell For Breakfast. On jase de problèmes techniques, l’expérience d’entrevue, la création de Michael Caine vs Neve Campbell, les imprévus en Grèce, Steve Albini, l’équilibre création/sélection/processus créatif, Paquet d’choses 2 et Transfusion, le moment présent et relativiser son importance, 37superkicks et court-métrage, Sam Murdock – P572, les shows entre ACCTV et ‘’Vous êtes ici’’, les changements de membres d’exterio, une période difficile pour le label, l’importance de Bandpromo et Metallicars.

Tellement hockey (OHdio)

Tellement hockey, c’est une rencontre hebdomadaire entre Martin Leclerc, Alexandre Coupal, Alexandre Gascon et Marc Antoine Godin, quatre gars qui couvrent le hockey et qui parlent de hockey. Ils analysent tout ce qui se passe sur la glace, dans le vestiaire et sur la passerelle. Ils présentent les grands thèmes liés non seulement à la LNH, mais à tout ce qui touche le sport national des Canadiens. Ils sont vites sur leurs patins; rien ne leur échappe.

Environnement : de la critique du statu quo à la transition juste (IRIS)

Dans ce 3e épisode du balado « Comprendre l’économie et la transformer », Camille Legault Thuot et Julia Posca discutent avec Colin Pratte et Bertrand Schepper des politiques industrielles et environnementales au Québec ainsi que de l’évolution du discours des élites politiques et économiques sur la crise climatique, qui a été façonné par la vision néolibérale de l’économie.

Un pays sans bon sens! (Pierre Perrault)

Essai cinématographique sur la notion d’appartenance à un pays. Se trouve-t-elle enracinée dans le cœur des hommes et des femmes, comme le croient certains? Les Québécois ont-ils assez de maturité pour se donner l’autonomie et un territoire? Qu’est-ce que le pays? Voilà quelques questions soulevées dans le film à une époque où ceux qu’on appelle Canadiens français se questionnent sur leur identité. Le documentaire aborde également la question de l’appartenance à un pays pour les Autochtones au Québec et les Bretons en France.

Métal sous-genre

Black métal

Né dans les années 1980, le black métal est réputé pour sa sonorité brute et atmosphérique. Il se caractérise par des voix aiguës et perçantes, des riffs de guitare trémolo qui évoquent l’obscurité et le mysticisme, ainsi que des paysages sonores atmosphériques envoûtants. Côté paroles, le black métal explore souvent les thèmes de la nature, du mysticisme et du sentiment antireligieux.

Groupes : Messa, Rotting Christ

Death métal

Le death metal est apparu comme un sous-genre du thrash metal à la fin des années 1980 et a repoussé les limites de la musique extrême. Connu pour sa sonorité brutale et agressive, le death metal se caractérise par des chants grognés ou gutturaux, des paroles dignes d’un film d’horreur, des guitares fortement désaccordées et des blast beats intenses qui créent une atmosphère de brutalité implacable.

Groupes : Cannibal corpse , Morbid angel, Obituary

Death métal mélodique

Le death metal mélodique, aussi appelé mélodeath, allie l’agressivité du death metal à des éléments mélodiques. Il se caractérise par des voix rauques, des harmonies de guitare mélodiques et des compositions à la fois agressives et mélodiques.

Groupes : Dark tranquility, In Flames, Persefone

Doom métal

Le doom metal, comme son nom l’indique, adopte une sonorité lente, lourde et mélancolique. Il se caractérise par des guitares basses, des tempos lents et des thèmes lyriques sombres qui explorent le désespoir, la dépression et l’occulte. L’écriture doom metal est connue pour ses compositions longues et atmosphériques qui plongent les auditeurs dans un paysage sonore sombre.

Groupes : Black Sabbath, Estetic fear, Katatonia

Métal classique

Le métal traditionnel, aussi appelé métal classique ou simplement « métal », constitue le fondement du genre. Apparu à la fin des années 1960 et au début des années 1970, il est influencé par le hard rock et le blues. Ce sous-genre se caractérise par des voix puissantes, des riffs de guitare accrocheurs et des solos mélodiques qui constituent souvent le moteur des chansons. Le métal traditionnel accorde également une grande importance à la narration à travers les paroles et propose souvent des refrains entraînants qui invitent le public à participer.

Groupes : Black Sabbath, Iron Maiden, Lordi, Spirit Adrift

Métal progressif

Le métal progressif est un genre qui repousse les limites du métal traditionnel en intégrant des éléments de divers styles musicaux, dont le rock progressif, le jazz et la musique classique. Connu pour ses structures musicales complexes, sa virtuosité et son expérimentation, le métal progressif offre une expérience d’écoute captivante et complexe. L’écriture musicale du métal progressif met en avant des signatures rythmiques impaires, des morceaux longs et des albums conceptuels qui proposent des voyages musicaux complexes.

Groupes : Dream theater, King Diamond, Ou, Voïvod

Métal symphonique

Le métal symphonique est un genre musical qui allie l’intensité du métal à la grandeur de la musique classique. Il intègre des chants d’opéra, des arrangements orchestraux et des éléments symphoniques pour créer un son majestueux et cinématographique.

Groupes : Exanimis, Estatic Fear, Kamijo, Ex Libris

Power metal

Le power metal est un sous-genre qui puise largement dans le metal traditionnel tout en y insufflant un sens aigu de la mélodie et des paroles inspirées par la fantasy. Reconnu pour ses chants puissants et lyriques, ses solos de guitare rapides et ses compositions épiques, le power metal crée une atmosphère de grandeur et de triomphe.

Groupes : Blind Guardian, Helloween, Symphony X

Proto métal

Le proto-métal est le premier genre musical agressif du rock classique et du hard rock. Il s’est imposé à de nombreux groupes, actifs à la fin des années 1960 aux États-Unis et au Royaume-Uni, au point d’être considérés comme des précurseurs importants et inspirants du heavy metal. Il puise ses racines dans le blues rock, l’acid rock, le garage rock et le rock psychédélique.

Les origines musicales du heavy metal se trouvent dans le blues rock, le hard rock et le rock psychédélique, notamment parmi les groupes de rock classiques qui ont eu du mal à adapter leur son à celui du blues américain classique. Durant cette période, les rythmes sont devenus essentiels et les instruments électriques amplifiés ont commencé à gagner en importance, notamment grâce aux innovations des premiers groupes d’acid rock.

Ces groupes de garage rock, dont certains sont souvent influencés par le blues rock et le rock classique (Cream, The Who, Yardbirds), ont créé un son si bruyant qu’il définira plus tard le proto-métal, un genre de musique rock caractérisé par l’utilisation de guitares électriques très distordues, une basse très virtuose, une batterie rapide et un style vocal plus puissant, caractérisé par des cris et des voix puissants, signe de transgression et de transcendance. À cette époque, l’utilisation d’accords de puissance était également répandue, ainsi que des solos de guitare plus complexes et exploratoires.

Groupes : Blue Öyster Cult, Jimi Hendrix, Iron Butterfly, Cream

(Traduction de https://heavymetal.fandom.com)

Trash métal

Le thrash métal a explosé dans les années 1980, mêlant l’agressivité du punk à la rapidité et à la technicité du heavy métal. Il se caractérise par des riffs de guitare ultra-rapides, une batterie implacable et des paroles engagées qui abordent souvent des questions politiques et sociétales.

Groupes : Anonymus, Overbass, Overkill, Voïvod

(traduction modernmusicsolutions.com)