Portrait des Québécoises : Violence (Conseil du statut de la femme)

Différents indicateurs statistiques permettent de brosser un portrait partiel de l’ampleur et de l’évolution de la violence faite aux femmes au Québec, comme en rend compte l’édition 2024 du Portrait des Québécoises. Ils mettent en lumière le fait que :

les femmes sont plus touchées que les hommes par certaines formes de violence, comme la violence sexuelle et la violence conjugale;
certaines catégories de femmes sont plus susceptibles que d’autres de subir de la violence, notamment celles appartenant à des groupes minoritaires;
la violence faite aux femmes est majoritairement le fait d’hommes de leur entourage;
le nombre de femmes qui signalent à la police avoir été victimes de violence conjugale ou sexuelle est en hausse.

Crise climatique, inégalités de santé et justice environnementale : donner au système de santé la capacité d’agir (IRIS)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estimait en 2007 que 150 000 décès par année étaient déjà attribuables aux changements climatiques1, un chiffre appelé à doubler d’ici 2030. Vagues de chaleur, perte de productivité agricole, maladies infectieuses, asthme et autres maladies respiratoires sont au nombre des conséquences graves provoquées par ce phénomène. Il est aussi la cause directe de plusieurs urgences humanitaires puisqu’il augmente la fréquence et l’intensité non seulement des vagues de chaleur, mais aussi des incendies de forêt, des inondations, des tempêtes tropicales et des ouragans. Environ 3,6 milliards de personnes vivent déjà dans des zones considérées très sensibles aux changements climatiques2. L’OMS anticipe qu’entre 2030 et 2050, les changements climatiques vont entraîner près de 250 000 décès supplémentaires par an, « dus uniquement à la dénutrition, au paludisme, à la diarrhée et au stress lié à la chaleur3 ». L’organisation estime par ailleurs que le coût des dommages directs pour la santé va se situer entre 2 et 4 milliards de dollars américains par an d’ici 2030.

Crise climatique, inégalités de santé et justice environnementale : donner au système de santé la capacité d’agir (IRIS)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estimait en 2007 que 150 000 décès par année étaient déjà attribuables aux changements climatiques1, un chiffre appelé à doubler d’ici 2030. Vagues de chaleur, perte de productivité agricole, maladies infectieuses, asthme et autres maladies respiratoires sont au nombre des conséquences graves provoquées par ce phénomène. Il est aussi la cause directe de plusieurs urgences humanitaires puisqu’il augmente la fréquence et l’intensité non seulement des vagues de chaleur, mais aussi des incendies de forêt, des inondations, des tempêtes tropicales et des ouragans. Environ 3,6 milliards de personnes vivent déjà dans des zones considérées très sensibles aux changements climatiques2. L’OMS anticipe qu’entre 2030 et 2050, les changements climatiques vont entraîner près de 250 000 décès supplémentaires par an, « dus uniquement à la dénutrition, au paludisme, à la diarrhée et au stress lié à la chaleur3 ». L’organisation estime par ailleurs que le coût des dommages directs pour la santé va se situer entre 2 et 4 milliards de dollars américains par an d’ici 2030.

Lisbonne, destination prisée pour les adeptes du télétravail (Radio-Cadenas)

Cinq ans après la pandémie, la normalisation du travail à distance a permis à de nombreuses personnes de refaire leur vie loin de chez elles. En Europe, l’Espagne et le Portugal sont des destinations particulièrement prisées par ceux et celles que l’on surnomme désormais les nomades numériques. Un reportage de Raphaël Bouvier-Auclair à Lisbonne.

Les bons économistes fuient les plateaux télé (Xerficanal)

Vous les attendez. Mais ils ne viennent jamais. Les économistes solides, rigoureux, précis, ne passent pas à la télé. À la place, vous avez les fameux toutologues, ces bavards verbeux, des oracles à l’emporte-pièce, des figures familières qui savent tout sur tout… sauf sur l’économie réelle. Et si leur absence n’était pas un hasard, mais un choix raisonné ?