En 1907, une jeune actrice, veuve et mère de deux enfants, se remarie à un évêque austère et ne tarde pas à regretter sa décision.
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Chaleur et quantité, que faire de l’eau
Lors de la participation à un congrès à Toulouse, j’ai discuté avec un spécialiste de la médecine chinoise, j’ai décidé d’écrire ce court article pour vous faire un résumé de notre discussion.
À quelle température devrions-nous boire l’eau?
Souvent des gens boivent l’eau du frigo, supposé rafraîchir, cette dernière a l’effet contraire. Pourquoi? Parce que tu envoies de l’eau à 7 degrés celcius, alors ton corps qui est entre 36,6 et 37 degrés réagit en tentant de se réchauffer, mais il y a pire. Que fait le corps lorsqu’il ingère du froid. Ton estomac travail deux fois plus forts pour digérer l’eau ingéré, car elle doit lutter contre la basse température. L’énergie ainsi mobilisée est une perte pour le reste du corps.
Alors la glace n’est pas bénéfique
Pire en en corps, la glace assèche, par conséquent, en la maintenant dans un verre d’eau, elle attire tous les minéraux vers elle. Ainsi, les premières gorgées sont vides et c’est pour ça que, si l’on boit tout le verre d’eau, c’est vers la fin que l’on a mal au ventre, car on se claque ces minéraux d’un shot.
Et la quantité d’eau
À tort, surtout en Amérique, on boit trop. Il faut écouter son corps et boire à la demande. Déjà, au-dessus de 1,5 litre, pas vrai que ton corps en a besoin, mais encore là, il s’agit d’une généralité, car dans les faits, quelqu’un qui mangera davantage de fruits et légumes aura besoin de moins d’eau, car les aliments qu’ils consomment en comporte. Ce qui est l’inverse pour celles et ceux qui consomment beaucoup d’aliments secs.
Alors, que devrions-nous faire?
Boire l’eau à la température de notre corps et si on a trop chaud, manger piquant ou mâcher de la menthe. Y’a certainement autre chose, à vous de chercher.
DAVE MUSTAINE Recalls His METALLICA Days And How He « Wrote A Lot Of Their Music That Made Them » (Metal injonction)
La valeur des contrats accordés à des firmes de génie explose à Montréal (Le Devoir)
La valeur des contrats accordés par la Ville de Montréal à des firmes de génie-conseil a explosé depuis l’année 2012. Les prix des services de génie-conseil ont même « renoué avec la dynamique de surenchère » dans l’industrie de la construction, qui avait été mise au jour il y a 10 ans par la commission Charbonneau, conclut une étude de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS).
Projet de loi no 101 : la mise en place d’un piège pour les victimes du travail (Presse-toi à gauche)
Goma : « on vit dans la terreur » (Pivot)
SAAQclic: quand les méthodes du privé font défaut (IRIS)
Les révélations entendues cette semaine à la commission Gallant, qui se penche sur le virage numérique chaotique qu’a connu la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), donnent la mesure du scandale qui s’y est joué dans les dernières années. Le témoignage d’un ancien directeur de la vérification interne et de l’évaluation des programmes a mis en évidence que le déploiement de l’infrastructure SAAQclic avait suivi son cours malgré le fait que des drapeaux rouges avaient été levés à plusieurs moments avant l’inauguration de la plateforme en février 2023.
Au vu des nombreuses anomalies que révélaient leurs tests, d’autres employée·e·s de la société d’État avaient pour leur part averti que la plateforme n’était pas prête et conseillé à la SAAQ de repousser sa mise en œuvre. Ni la direction de la SAAQ ni le conseil d’administration ne semblent s’en être inquiétés, comme c’est le cas d’ailleurs pour les dépassements de coûts qui ont marqué le projet.
Le syndicat représentant les professionnel·le·s en informatique du gouvernement a de son côté appelé à réduire la dépendance de l’État québécois envers la sous-traitance, un des éléments qui, selon toute vraisemblance, a contribué à faire dérailler le projet. C’était d’ailleurs une des recommandations phares de la Commission Charbonneau.
Bien qu’on ne sache pas encore tout de cette affaire, on voit apparaître à travers l’aventure SAAQclic les limites de la gouvernance entrepreneuriale, qui s’est imposée comme mode de gestion des services et des organismes publics depuis les années 1980. Réputé être le « chien de garde » des organisations, un conseil d’administration peut obéir à des impératifs incompatibles avec l’intérêt de la population qu’il est censé servir. Quant aux entreprises externes, leur objectif premier demeure de générer des profits. À l’inverse, les travailleurs et les travailleuses sont plus susceptibles de s’identifier à la mission de leur organisation et chercher à en assurer la réalisation.
Certains souhaitent peut-être que ce fiasco emporte la Coalition avenir Québec, qui à un peu plus d’un an du déclenchement des prochaines élections provinciales, poursuit sa dégringolade dans les intentions de vote. Il faut surtout espérer que le gouvernement, peu importe les couleurs qu’il revêt, de même que les dirigeants actuels et futurs de la SAAQ comme ceux de tout organisme public, remettent en question une fois pour toutes leur foi aveugle dans les mécanismes du privé.
Parasite (Bong Joon Ho)
Toute la famille de Ki-taek est au chômage et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park, jusqu’à ce qu’ils soient impliqués dans un incident inattendu.